Jean Rostand: Malsamoj inter versioj
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Si ces recherches scientifiques originales portent surtout sur les Amphibiens, il inventera le bain glacé qui double le stock chromosomique, mais il découvre aussi les particularités " antigel " de la glycérine ce qui lui permet d’inventer des méthodes de conservation du sperme et du sang. Jean Rostand est beaucoup plus connu par son œuvre de vulgarisation. Son premier livre, Les Chromosomes artisans de l’hérédité et du sexe(1928), connaît un grand succès assez inattendu pour un livre de pure information. Rostand ressent l’utilité d’une initiation scientifique prolongeant l’instruction scolaire. Le déclic est donné ; une trentaine de volumes et de nombreŭ articles paraîtront, problèmes biologiques, vies d’animaŭ, biographies d’hommes de vérité, rôle de la biologie dans la vie, etc. Pour améliorer la société tout en conservant le cadre social, c’est l’homme qu’il faut changer. Mais qu’est-ce que l’homme ; Le biologiste aidera le moraliste à répondre à la question ; d’où une série de nouveaŭ livres : Pensées d’un biologiste(1940), Nouvelles Pensées d’un biologiste(1947), Ce que je crois(1953), Carnet d’un biologiste(1959), Inquiétudes d’un biologiste (1959), Espoirs et inquiétudes de l’homme(1966). Il préconise une morale biologique car "la biologie est à la base de toute méditation sérieuse sur la condition humaine". Il souhaitait que "chaque citoyen ajoutât à sa maturité politique une sorte de maturité biologique " afin qu’il puisse se prononcer valablement sur l’avenir humain. Les trois impératifs de sa morale biologique sont : "Mater en soi la brute, dépasser l’enfance, échapper à la névrose." "La générosité, le dévouement, le don de soi qui permettent à l’être humain de se hausser, de s’agrandir, d’accroître son humanité" devraient être la fin ultime de toute morale. Dès le début des années soixante, il avait décelé avec clairvoyance, les causes primordiales de la faillite de la civilisation actuelle "qui n’a pas su donner un sens à son savoir, un but à sa puissance, un idéal à sa liberté".
li timis ekeston de socio tro racia, tro prudenta, kiu emus taksi la "kvoto da protektado kaj sanzorgoj" indaj je ĉiu unuopulo, kaj akceptus [[eŭtanazio]]n.
Tuta la verko de Jean ROSTAND mergiĝas en strebo al vero, nur la vero, kiom ajn malagrabla ĝi povas esti (ekzemple, intervjuita pri morto, li respondis, ke kiel sciencixto li rigardas ĝin narmala, sed kiel homo li sentas ĝin plu kiel neeltenebal skandalo).
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